SEPTIÈME PARTIE 223 |
N°1. - Notes sur l'abbé
Pouillet. ancien curé de la paroisse de Moyencourt, près
Poix (Somme).
L'abbé Pouillet (Gustave-Jean), 27e curé connu de la
paroisse de Moyencourt il fut nommé à cette cure le 21
juillet 1843, et installé le 29 du même mois; il mourut
dans la ville d'Amiens, son pays natal, le 23 mai 1860, âgé
de quarante et un ans. |
N° 2.- Opinion de l'abbé Pouillet sur les premiers seigneurs de Poix du nom de Tyrel. "Je suis porté à eroire que les Tyrel, qui furent princes de Poix, étaient Normands, et qu'ils devinrent maîtres de Poix après en avoir chassé les anciens possesseurs à l'époque de l'invasion normande. Les rapports qu'ils eurent, assez fréquents même, avec les ducs de Normandie, m'engagent fortement à admettre cette idée. Je les vois assister à la conquête d'Angleterre sous Guillaume, duc de Normandie, et Tyrel est inscrit sur les anciennes listes des conquérants de l'Angleterre, d'après une charte conservée au monastère de St-Martin de la Bataille ; il eut part à la distribution des terres qui furent les fruits de la conquête. Dans la donation faite en 1118, au prieuré de Saint-Denis de Poix ; il est question. d'une dîme levée à Lavingaham, et sur laquelle Gauthier Tyrel IIIe du nom donne deux marcs d'argent, in Anglia ducas marcas argenti de decirna Lavingaham. Gauthier Tyrel IIe du nom vivait à la cour d'Angleterre intimement lié avec le roi Guillaume le Roux, et ce fut lui qui, dans une chasse, perça ce prince d'une flèche dirigée contre un cerf qu'il voulait abattre. Les Tyrel conduisirent leurs hommes d'armes à la guerre d'outre-mer ; les Pohiers ou habitants de Poix firent partie des troupes qui marchèrent avec Guillaume de Normandie ; l'armée était divisée en trois colonnes d'attaque et ils se trouvaient à la première près des gens d'armes venus des comtés de Boulogne et de Ponthieu. " |
N°9. - Note sur l'ancienne église de Moyencourt, qui tomba en ruine en 1691. Le vingt-neuvième jour du mois de mars 1691, sur les huit heures
du soir, est tombée la muraille du côté du jardin
du logis, qui était fardée depuis là chapelle de
la Vierge jusqu'au clocher, et cependant il n'y a eu personne de tué,
quoiqu'il y ait eu plus de soixante personnes à travailler dans
l'église pour ôter les matériaux, et plus de trente
hommes qui se sont trouvés enveloppés sous ses ruines.
Ils travaillaient tous à étayer la porte du milieu, qui
a fondée t-eut d'un coup avec la muraille et le comble. Il n'y
a eu que Pierre Cailleux, qui était en haut de la poutre; qui
a eu le bras cassé Nicolas Boullenger, l'épaule démise;
Adrien Martin, quelques côtes fracturées, et quelques autres
233 légèrement
blessés. Ce que j'ai bien voulu ici remarquer, en reconnaissance
le la protection que nous avons reçu du ciel car de toutes les
personnes que nous étions dans ces débris, il n'en aurait
pu échapper une seule si la divine Providence, par une faveur
particulière, ne nous eût conservés, car l'accident
à été si imprévu et si prompt que nul n'a
pu s'échapper qu'après la ruine totale. |
N°10. - Tablettes généalogiques de la noblesse d'Artois, de Flandre, de Hainault et de Cambresis. CHASTELET (Du). - Cette famille, originaire de la terre du Chastelet,
près d'Aire, a été maintenue par l'intendant Bignon,
le 11 janvier 1706, sur preuves établissant la filiation depuis
Jacques du Chastelet, écuyer, seigneur dudit lieu et de Coulomby,
capitaine d'Oisy en 1460. Claude du Chastelet, chevalier seigneur de
Moyencourt, Lentilly, Fresnière, etc., est qualifié haut
et puissant seigneur dans le contrat de mariage en date du 25 septembre
1622, de son fils Claude, qui fut chevalier de l'ordre du roi et gentilhomme
ordinaire de sa chambre. Alliances : Belleforière, Caumesnil,
Conty, Fléchin, La Chaussée, Moyencourt, Presteval, Proissy,
etc. Extrait de l'Armorial d'Artois et de Picardie, généralité d'Amiens, par M. Borel d'Hauterive, archiviste paléographe, Paris, 1866, in-40, p. 434. |
N°11. - Notes de l'abbé Pouillet
sur la famille de Moyencourt. On trouve à Conty une famille du nom soit de Moyencourt, soit de Demoyencourt ; serait-ce quelque branche de celle qui posséda autrefois la seigneurie de Moyencourt? Nous laissons juges des hommes plus capables que nous. Voici un commencement d'acte qui a rapport à ceci : Entre Alexandre-François de Mareuil, chevalier, seigneur de Contre, Louis-Hector de Mareuil, chevalier, et Yolande de Mareuil, tous trois enfants héritiers de dame Marie Yolande de Conty, qui fut fille et héritière de M. Jean-François de Conty, et de dame Agnès de Goussancourt et cessionnaires du sieur François-Joseph de Moyencourt, sieur de La Horbe, demeurant à Vellennes, suivant le contrat du (18 juillet 1754. (Manuscrit et Archives du château de Luziéres-lès-Conty (Somme.) |
N°12. - Actes concernant Messire François-Joseph DE MOYENCOURT, écuyer, seigneur de La Horbe, du Quesnoy, de Rûne et du Coudray, garde de la porte du roi et officier militaire de la maison de Sa Majesté. Par acte passé au château de Luzières-lès-Conty, le 1er décembre 1746, devant Me Louis Lequin, notaire à Conty, il est fait une constitution de 50 fr. de rente annuelle et perpétuelle, pour et au profit du sieur François-Joseph de Moiencourt, par dame Marie-Angélique Fillieux, veuve d'honorable homme Jean-Baptiste-Nicolas Boulenger du Hamel, vivant seigneur de Luzières, Saint-Vrain, Obrillé et autres lieux, à cause d'elle, aussi honorable 235 homme Jean-Baptiste-Nicolas Boulenger du Hamel, ancien garde du roi, fils aîné desdits sieur et dame, et dame Marie-Françoise Fouache de Boullan, son épouse, demeurant en la ville d'Amiens et étant alors présents en leur château de Luzières-lès-Conty. La présente rente et constitution a été faite moyennant la somme de 1000 fr. que ledit sieur de Moiencourt acceptant a payés et délivrés audits sieur et dame constituants. (Titre sur timbre, coté 10 aux Archives de Luzières, et délivré par Me Louis-Pierre-Couturier, notaire à Conty (Somme), gardien de La minute.) |
N°13. - Par autre acte passé devant M Charles-François Lequin, notaire à Conty, le 30 avril 1770, messire Jean-Baptiste-Nicolas-Joseph Boulanger, écuyer, seigneur du Hamel, Luzières et autres lieux, lieutenant de la maréchaussée générale de Picardie, demeurant en la ville d'Amiens, paroisse de Saint-Michel, et nommé ci-dessus, a fait une constitution de 400 livres de rente annuelle et perpétuelle payable chaque année à pareil jour (30 avril), pour et au profit du sieur François-Joseph de Moiencourt, écuyer, sieur de La Horbe, garde de la porte du roi, demeurant ordinairement à Vellennes. La présente constitution est faite moyennant la somme de 2000 fr., que ledit sieur de Moyencourt paya comptant. (Titre sur timbre, coté 11, aux Archives de Luzières et délivré par Me Prosper-Auguste Magnier, notaire à Conty, gardien de la minute.) |
N°14. - Acte par lequel le sieur Francois-Joseph
de Moyencourt, écuyer, seigneur de La Horbe, etc., fit don, en
1781, de bois cloches à l'église
Saint-Christophe du village de Vellennes (paroisse de Frémontiers.) Voici leur acte de baptême avec leurs inscriptions : L'an 1781, le 23e jour de décembre, eu vertu de la permission 236 à nous accordée par M. de Douay des Daymer, vicaire général et archidiacre d'Amiens, lors de sa dernière visite, par nous prêtre curé de Frémontiers, assisté de M. Warmé, chapelain de Vellennes, y demeurant, annexe de ladite paroisse de Frémontiers, ont été bénites trois cloches en la chapelle dudit Vellennes, données à ladite chapelle par messire François-Joseph de Moyencourt, écuyer, seigneur de La Horbe, du Quesnoy, de Rhûne et du Coudrai, officier militaire de la maison du roi, dont la plus grosse a eu pour parrain le sieur Nicolas de La Saulx, fils représentant ledit sieur de Moyencourt, prévenu par sa mort, Et damoiselle Geneviève-Françoise-Joséphine Froment, fille du sieur Louis-Florimond-François Froment, ancien capitaine, exempt de la prévôté de l'hôtel du roi, ancien seigneur de Gauville ; La moyenne a eu pour parrain le sieur Louis-François-Firmin Froment, chevalier, seigneur du Rot, du Gard, d'Ozenneville, du Quesne et des Rameaux, président trésorier général de France au bureau des finances et chambre des domaines de la généralité d'Amiens, Et demoiselle Louise-Marie-Magdelaine-Françoise, sa fille; La troisième, le sieur Louis-Florimond-François Froment de Gauville susnommé, Et damoiselle Louise-Sophie Froment, demoiselle d'Elles de Froment, Meante en partie, et La Pré, fille dudit sieur Froment du Rot. Et ont lesdits parreins et marreines, nommés chacune pour leur partie la plus grosse cloche, Geneviève-Françoise-Joséphine; la moyenne, Louise-Marie-Mag.-Françoise ; la petite, Louise-Sophie ; signé aux registres : Charles Argex, Delacourt et Bouchez, curé. (Etat civil de la commune de Frémontiers, an 1781, et acte sur timbre coté 12 aux Archives du château de Luzières.) |
N°15. - Acte de décès du sieur François-Joseph de Moyencourt, écuyer, seigneur de La Horbe, du Quesnoi, de Rûne et du Coudray, officier militaire de la maison du roi, 237 décédé en sa maison de Vellennes le 11 avril 1781, âgé de quatre-vingt-huit ans et fut inhumé en présence des sieurs Pierre-Florimont-François Froment, écuyer, capitaine, ancien exempt de la prévôté de l'hôtel du roi, et Louis- Firmin Froment, chevalier, seigneur du Rot, du Gard, Ozenneville, du Quesne et des Rameaux, président-trésorier général de finance au bureau des finances et chambre des domaines de la généralité d'Arniens, tous deux neveux dudit défunt, qui ont signé avec Bouchez, curé. (Etat civil de Frémontiers, an 1781, et acte sur timbre coté 13, aux Archives du château de Luzière.) |
N°16. - Notes historiques et généalogiques sur les anciens seigneurs de Vers, et du fief de Lentilly, sis paroisse de Vers-Hébécourt, prés d'Amiens (Somme). LENTILLY, connu dans les anciens actes et titres sous les noms de Lanthagilliaco
(Xe siècle), Lanthailliaco en 1045, Lantholliaco
en 1093, Lanthelliacus en 1128, Lanthilliacum eu 1171,
Lanthelliacum en 1196, Lantilliacurn en 1233, et Lantilliacus
en 1306 Lanthailli, Lanthelli, Lanthilly, Lenthelli, Lentelli, Lentilli
et enfin Lentilly, était jadis l'un des dix fiefs situés
dans l'ancienne paroisse de Vers. Le premier possesseur de ce fief, fut Adelbert (Madalbertus),
premier seigneur connu de Vers, (1) L'Histoire de Vers Hébécourt contient : Sa description. - Son ancienneté. - Ses antiquités. - Ses anciens souterrains. - Ses noms anciens, latins et français. - Son origine. - Ses anciennes églises, ses chapelles, sa maladrerie, son prieuré - La fondation de église actuelle, sa description, ses cloches. - Notice sur Saint-Remi, patron de Vers. - Notice, vie et miracles de Saint-Hildevert, aussi patron de Vers. - La généalogie de la famille de Saint-Hildevert, dont les membres ont possédé la terre de Vers, de 551 à 1118, et le fief de Lentilly Jusqu'en 1365. - Faits historiques passés à Vers, de 551 à 1790. - Châteaux dans la paroisse de Vers. - Anciennes justices de Vers. - Seigneurs de Vert. - Anciens fiefs de Vers, savoir : Aumoise, Baimont, Cary, Hébécourt, La Mairie, Lentilly, Lozières, le Quesnel, Valopuy et Vauselle. - La liste de tous ces seigneurs fieffés. - La chronologie des Prieurs du Prieuré de Saint-Hildevert, avec la liste des Curé, de Vers, des Vicaires d'Hébécourt, des Maires et Adjoint de Vers. - Chartres, Preuves, etc. |
N° 17. -Souvenirs du concours régional de Rouen. (Suite et fin.) Comme vous l'avez vu, l'Empereur a été généreux
pour Rouen; sur cinquante nominations, trente appartenaient à
la ville même. Caen a eu une part dans ces largesses, et tout
le monde y a accueilli avec une vive satisfaction la nomination de M.
Emile Valembourg comme chevalier de la Légion d'honneur. Les
services gratuits et désintéressés qu'il a rendus
depuis près de vingt ans à la Société des
courses de Caen dont il est aujourd'hui le principal commissaire, l'influence
décisive qu'il a exercée sur la prospérité
de ces solennités qui ont rendu célèbre l'hippodrome
de Caen, enfin ses connaissances spéciales qui l'ont fait appeler
comme commissaire dans toutes les grandes expositions hippiques, tout
se réunit pour justifier la récompense qui est venue chercher
M. Valembourg. Aussi ce ne sont pas seulement ses amis, mais tous ceux
qui ont quelque souci de nos courses qui s'en sont réjouis. |
N° 18. - Conseil général du Calvados, session de 1868. Rapport de M. le Préfet. - Encouragements pour l'amélioration de l'espèce chevaline. J'ai l'honneur de vous proposer de renouveler, au budget de 1869, la
subvention de 52,600 fr. que vous avez Votée 241
l'année dernière, à titre d'encouragement pour
l'amélioration de l'espèce chevaline
52,600 |
N°19.- Du 6 avril 1868. Acte par lequel M. Alfred de Moïencourt est reconnu chef de toutes les branches de sa famille. Nous, soussignés : |
N° 20. - Chapelle Saint-Martin et Saint-Montan, fondée dans le cimetière de la ville de Conty, par M. ALFRED DE MOIENCOURT, chef du nom et des armes de sa famille. Le dimanche 11 octobre 1863, a eu lieu,
à Conty, la bénédiction de la chapelle du cimetière
de cette importante commune; cet édifice, de style roman, a été
construit aux frais de M. de Moiencourt, propriétaire du château
de Luzières, annexe de Conty. Il surmonte un caveau funéraire
destiné à la sépulture des membres de la famille
du fondateur. Le cimetière, qui aujourd'hui est à l'usage
de Conty, 243 est celui
de l'ancienne paroisse de Saint-Martin et Saint-Montan, sous les vocables
desquels a été consacrée la nouvelle chapelle.
M. de Moiencourt a fait don à la commune de Conty du terrain
qui environne sa chapelle, ainsi que d'une entrée fermée
d'une grille sur le chemin de Tilloy; il laisse aux habitants l'usage
de la chapelle, en s'en réservant jusqu'à présent
la propriété. |
N° 21. - JUGEMENT DE RECTIFICATION NAPOLÉON, par la grâce de Dieu et la volonté nationale,
empereur des Français, à tous présents et à
venir, salut. A MESSIEURS LES PRÉSIDENT ET JUGES COMPOSANT LE TRIBUNAL CIVIL DE NEUFCHATEL.
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N° 22. - Dernières notes sur la famille
de Moyencourt. Voici, d'après les manuscrits de M. Dumont de Moyencourt, les noms des familles qui ont porté ou portent encore celui de Moyencourt: I. BINET DE MOYENCOURT, dont les membres ont pris le titre de comte de Moyencourt, famille encore existante. II. DU CHASTELET, seigneurs de Moyencourt, famille éteinte en 1728 (voyez page 110 de cette histoire). III. DUMONT, baron de Moyencourt, famille éteinte en 1866. IV. FOSSIER DE MOYENCOURT, famille encore existante. V. DE MOYENCOURT, famille dont nous donnons la généalogie dans la présente histoire. VI. TYREL DE MOYENCOURT, famille issue des sires de Poix. VII. VAUTIER DE MOYENCOURT, dont quelques membres ont pris le titre de comte de Moyencourt, etc. |
N° 23. - Description des Armoiries des familles
qui ont possédé les château et domaine de Moyencourt,
après la maison de ce nom, c'est-à-dire depuis l'année
1580, jusqu'à ce jour. Notre intention était, après les pièces justificatives de la famille de Moyencourt, de rapporter des notices généalogiques sur les familles du Chastelet, de Sarcus, de Gomer, de Crény et de Tourtier, familles qui ont possédé successivement la terre de Moyencourt; mais, comme nous avons déjà dépassé le cadre que nous avions tracé, nous nous contenterons de ne donner ici que la description de leurs armes. 254 1° Du CHASTELET, famille éteinte : De gueules, à la fasce d'argent, accompagnée de trois tours d'or, posées deux en chef et une, en pointe - Supports: Deux lions d'or couronnés. - Couronne de Baron. 2° DE SARCUS: De gueules, au sautoir d'argent, cantonné de quatre merlettes du même. - Tenants : Deux anges. - Couronne de Comte. 3° DE GOMER : D'or, au lambel d'azur, accompagné de sept merlettes de gueules, posées quatre en chef et trois en pointes. - Couronne de Comte. 4° DE CRENY : D'azur, à la fasce d'argent ; à la bordure engrêlée de gueules. La branche de Picardie ajoutait à ses armes: Un croissant de sable sur la fasce, pour brisure. - Supports et cimier : Trois licornes. - Couronne de Marquis. 5° DE TOURTIER : D'azur, au chevron d'argent, accompagné de trois besants du même, posés deux en chef et un en pointe ; le chevron chargé de trois merlettes de sable, une sur la pointe et deux sur les branches affrontées. - :Supports : Deux lions. - Couronne de Comte. Ces quatre dernières familles subsistent encore aujourd'hui avec honneur; celle de Tourtier a conservé le domaine de Moyencourt jusqu'à ce jour. |
N° 24. - Lettre de M. Ludovic comte de Poix, adressée
à M. Alfred de Moïencourt, au château de Luzières.
MONSIEUR, |
N° 25. - Lettre de l'Auteur à M. Alfred de Moïencourt, chef du nom et des armes de sa famille, en lui envoyant sa Généalogie imprimée. MONSIEUR, FIN DES PIÈCES JUSTIFICATIVES DE LA FAMILLE DE
MOYENCOURT. |
(p. 220)
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- Présentation du livre et notes de
l'auteur - Ville de Poix en Picardie - Moyencourt
près Poix La MAiSON DES TYREL - Tableau chronologique des branches de la Maison des Tyrel
Famille de Poix : PREUVES ET INVENTAIRE DES TITRES Armorial des familles - Ouvrages consultés - Table des Matières |